Nouveau traité international de l’OMS, corruption systémique et origine des accusations de complotisme

Christian Perronne, Astrid Stuckelberger, Alexandra Henrion Caude, Pablo Buono et Jean-Dominique Michel ont participé à une conférence sur la gestion de la crise dite sanitaire organisée par le Grand Éveil Genevois, le 24 février 2022.

J’attire plus particulièrement votre attention sur les interventions d’Astrid Stuckelberger et Jean-Dominique Michel.

 

Intervention d’Astrid Stuckelberger

En plus de remarques sur la stratégie « vaccinale » foireuse adoptée par presque tous pays occidentaux, les fraudes scientifiques, les manquements éthiques et la mise en place d’une nouvelle normalité où la COVID est là pour rester et où on pourrait surveiller et contrôler tout ce que nous faisons grâce à l’implantation de l’identité numérique, Astrid Stuckelberger nous apprend qu’en plus de faire du marketing pour le « genome editing » et la digitalisation de la santé, l’Organisation mondiale de la santé prépare un traité pour les États membres. Certaines des clauses de ce traité concernent la redéfinition de certains termes médicaux et scientifiques (comme cela a déjà été fait pour la pandémie et l’immunité collective), la standardisation de la santé et des traitements, l’ingérence dans la politique sanitaire des États membres (qui cesseraient du même coup d’être souverains) et la suprématie des décisions de l’OMS sur les décisions nationales en temps d’urgence sanitaire ou de pandémie. Et on nous aimerait nous faire croire que ce sont les camionneurs qui représentent un danger pour la démocratie !

 

J’essaierai de trouver ce traité et des interventions d’Astrid Stuckelberger plus longues à ce sujet.

 

Intervention de Jean-Dominique Michel

Après un développement sur la stérilisation du débat scientifique, sur les principes fondamentaux en santé publique qu’on ignore depuis deux ans et sur les idées reçues sur la pandémie et la gestion de la crise, Jean-Dominique Michel nous informe de la décision rendue par un tribunal texan d’obliger Pfizer à publier d’ici un an ses données sur les essais cliniques portant sur les injections expérimentales, au lieu d’attendre après 75 ans (à la demande de Pfizer et de la Food and Drug Administration qui accrédite les médicaments aux États-Unis), ce qui ne manquera pas de faire scandale, compte tenu de l’écart entre les données et la propagande « vaccinale ». Puis il enchaîne avec des citations sur la corruption systémique dans le milieu de la santé, qui ne viennent pas de soi-disant complotistes, mais de la Commission européenne et d’anciens rédacteurs en chef du New England Journal of Medecine et du British Medical Journal, desquelles on peut conclure que ceux qui osent dire quelque chose de contraire aux intérêts de l’industrie pharmaceutiques sont grillés, alors que beaucoup de professionnels de la santé croient à tort protéger la santé de la population et sont objectivement dangereux pour elle. Et des études sur les millions de morts causées par les injections expérimentales commencent à être publiées. Les journalistes et les autorités politiques et sanitaires auront bien beau crier au complotisme (stratégie inventée par la CIA pour empêcher la critique du rapport Warren sur l’assassinat de John F. Kennedy), les choses sont en train de sortir et ce qu’on nous a présenté comme des vérités indubitables pourraient être bientôt reconnues pour ce qu’elles sont par une partie considérable de la population, c’est-à-dire pour des mensonges éhontés. Car qu’est-ce que la corruption, sinon des complots grâce auxquels notre gouvernement, nos institutions publiques et notre système de santé se retrouvent à servir des intérêts crapuleux qui sont radicalement incompatibles avec nos intérêts ? Serons-nous encore longtemps assez naïfs pour croire que la corruption n’existe pas dans les domaines de la santé et de la science, où d’importantes sommes d’argent sont en jeu, alors qu’il est notoire qu’elle existe dans d’autres domaines, par exemple celui de la construction ?

 

 

Diversion

L’intervention militaire en Russie tombe vraiment bien pour détourner l’attention des populations occidentales de ce qui commence à se savoir, c’est-à-dire de la corruption systémique de nos institutions politiques, scientifiques et sanitaires, et des mensonges dont on nous abreuve depuis deux ans. Il est difficile d’y voir une simple coïncidence. Qu’on me permette donc de faire moi-même un peu de « complotisme » ! Bien entendu il ne s’agit pas de dire que le gouvernement américain, les autres gouvernements occidentaux, l’Organisation mondiale de la santé, l’industrie pharmaceutique, le Forum économique mondial et l’OTAN sont de mèche avec les Russes. Il ne s’agit pas non plus de dire que la diversion que procure cette guerre est la seule chose qui a motivé l’attitude agressive de l’OTAN et des gouvernements occidentaux vis-à-vis de la Russie, et le fait de fouler aux pieds les intérêts et les exigences de la Russie (je pense aux refus des Américains et de l’OTAN de donner les garanties de sécurité demandées quant à la non-expansion de l’OTAN aux frontières de la Russie, ainsi qu’à l’intensification des bombardements des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk juste après leur reconnaissance par la Russie et la signature d’un accord de coopération militaire avec elles), lesquels ont contribué considérablement à provoquer l’intervention militaire russe en Ukraine, même si les décideurs occidentaux ne s’attendaient peut-être pas à une réaction aussi forte de la Russie (les affirmations des agences militaires de renseignement à ce sujet pourraient être seulement de la propagande pour les populations occidentales). D’autres facteurs ont sans doute joué un rôle très important : les intérêts économiques du complexe militaro-industriel ; la justification de l’existence, du financement et de l’adhésion à l’OTAN, qui dépendent des tensions avec les autres puissances militaires et des guerres ; le désir de couper encore plus les relations économiques et diplomatiques des États européens avec la Russie, afin de les soumettre encore plus aux États-Unis, notamment en obtenant l’annulation du gazoduc Nord Stream II, qui était sur le point d’entrer en service ; etc. Il n’en demeure pas moins possible que l’aggravation des tensions avec la Russie ait pu être considérée comme une excellente manière, par nos gouvernements crapuleux, de détourner l’attention des scandales qui se préparent à propos de leurs magouilles, de dissimuler le sale coup que nous prépare l’OMS avec son traité et nos gouvernements avec l’implantation de l’identité numérique, et d’empêcher que ne s’étendent et ne se renforcent des mouvements d’opposition qu’ils ont déjà de la difficulté à contenir. Ce ne serait pas la première fois qu’on tire avantage d’une détérioration des relations internationales ou d’une guerre pour atténuer ou résoudre des problèmes de politique intérieure, et pour accroître le pouvoir des gouvernements sur la population, même si on peut essayer d’obtenir d’autres avantages ainsi, question de faire d’une pierre, deux coups.

Il nous faut donc garder l’œil ouvert et ne pas nous laisser encore une fois mener en bateau par les truands qui nous gouvernent.