Une hausse des maladies cardiaques qui n’aurait rien à voir avec les injections expérimentales

Ça commence à sentir le roussi pour les autorités sanitaires et les sociétés pharmaceutiques, notamment à cause d’une hausse significative des maladies cardiaques chez des personnes jusque-là en bonne santé. Et avec l’injection des doses de rappel à une partie importante de la population cet hiver, l’année 2022 ne s’annonce guère mieux. Mais ne sous-estimons pas ces bienfaiteurs de l’humanité : ils ne sont certainement pas à bout d’artifices pour ne pas avoir à assumer les conséquences de leurs actes. C’est pourquoi nous voyons se multiplier les efforts pour attribuer cette hausse à toutes sortes de causes. Un article du OffGuardianAnother predicted spike in heart attacks (but it’s still nothing to do with the vaccines), rapporte les causes évoquées pour expliquer cette hausse attendue des maladies cardiaques :

  • le trouble de stress post-pandémique (un proche cousin ou une sous-catégorie du trouble de stress post-traumatique)  ;

  • le sous-diagnostic de la sténose aortique (rétrécissement de la valve aortique) ;

  • le froid et le stress auxquels nous serions exposés en raison de la hausse des coûts énergétiques ;

  • les cas légers de COVID qui augmenteraient les risques d’infarctus du myocarde ;

  • le fait d’avoir raté des consultations et des examens en cardiologie qui aurait été causé par les confinements (sans parler de la saturation du système hospitalier) ;

  • l’adoption d’un mode de vie plus sédentaire et le gain de poids qui en résulte.

Et ce n’est probablement qu’un début. Tout pour ne pas tenir les injections expérimentales en partie responsables de cette hausse, puisque les caillots sanguins et les myocardites qu’elles provoquent seraient très rares.

Ces explications sont d’autant plus nuisibles que certaines d’entre elles peuvent être dans une certaine mesure vraies. Il est vraisemblable que les politiques de confinement ont détérioré notre santé, et ont dissuadé plusieurs d’entre nous de consulter un cardiologue, quand leurs rendez-vous n’ont pas été annulés ou reportés. Des experts en concluront peut-être qu’il faut faire d’autres campagnes d’inoculation de toute la population pour éviter d’avoir à reconfiner l’hiver prochain, le suivant, l’autre d’après, etc. Et puisque le seul fait d’être infecté par le virus, sans être vraiment malade, augmenterait les risques d’accident cardiaque, la pression pourrait être très forte pour aller dans cette direction, surtout si la fréquence plus élevée des maladies cardiaques est assez forte pour être directement perceptible par la population, et si les gouvernements, les experts et les journalistes en font toute une histoire. Nous pourrions nous retrouver dans une situation absurde où l’on exercera encore une fois de fortes pressions sur la population afin qu’elle fasse sa part pour éviter un autre confinement et atténuer l’épidémie de maladies cardiaques en se faisant inoculer, ce qui aggraverait en fait la situation.

Je suppose que nos autorités et nos experts ont aussi préparé toutes sortes d’explications pour les autres effets néfastes des campagnes d’inoculation et pour les conséquences désastreuses des politiques de confinement et de relance économique, quitte à aggraver la situation pour que ça soit plus convainquant. S’il est vrai que les injections expérimentales affaiblissent ou bousillent même notre système immunitaire, ce n’est peut-être pas un hasard si on nous a annoncé récemment la découverte d’un variant du VIH plus contagieux. Quant à l’inflation généralisée que nous connaissons depuis plusieurs mois, l’opération militaire de la Russie en Ukraine et les sanctions économiques que les gouvernements occidentaux lui ont imposées leur fournissent un bouc émissaire pour la dégradation de notre niveau de vie. Je les crois même capables de tirer profit de la situation économique précaire dans laquelle nous nous trouvons pour exercer sur nous des contraintes plus fortes afin que nous nous fassions inoculer une quatrième fois, une cinquième fois, une sixième fois, en nous menaçant de nous priver de nos revenus et du filet social, et en affirmant que nous devons faire notre part pour éviter un autre confinement qui pourrait porter un dur coup de plus à notre économie et aux finances publiques.