Entretien avec le toxicologue Jean-Paul Bourdineaud (2)

Voici la deuxième partie de l’entretien avec le toxicologue Jean-Paul Bourdineaud publié sur le blog de Laurent Mucchielli. Le scientifique y brosse une fresque où les points suivants sont abordés, avec références à l’appui :

  1. Le rôle de la propagande médiatique dans la crise actuelle, notamment en ce qui concerne la vaccination comme seule et unique solution, et le fait d’ériger des modélisations mathématiques déconnectées de la réalité et délirantes en summum de la rationalité, le tout pour écarter ou discréditer la vraie science, celle qui est expérimentale, dans le bon sens de terme, c’est-à-dire celle qui est affaire d’expériences et d’observations.

  2. La campagne médiatique et pseudoscientifique contre l’hydroxychloroquine, durant laquelle on a rien trouvé de mieux à faire, pour montrer sa supposée toxicité, que d’exploiter un fait divers (la mort d’une personne qui a ingéré une forte dose de chloroquine, une drogue de la même famille qui est beaucoup plus toxique que l’hydroxychloroquine, raison pour laquelle on utilise justement cette dernière à sa place) et en diffusant les bêtises d’experts triés sur le volet, comme la belle lapalissade de ce pharmacologue sur la chloroquine : « …si vous en prenez trop, vous pouvez faire très facilement un surdosage ».

  3. Les doutes formulés par un ancien vice-président de Pfizer sur la stratégie vaccinale intégrale (je dirais intégriste), les caillots de sang et les saignements observés après la vaccination, et les manières dont on a essayé de disqualifier ses déclarations, en les attribuant à un hypothétique dépit lié à la non-commercialisation d’un composé produit par une société pharmaceutique qu’il a dirigée, et à un non moins hypothétique « changement de personnalité ayant altéré ses capacités mentales », ce qui n’est que commérages et ragots.

  4. Les effets secondaires des vaccins, la courte durée de la protection conférée, leur faible protection contre les nouveaux variants, la production d’anticorps facilitants, la diffusion dans tout l’organisme des composantes génétiques et nanoparticulaires injectées (pas seulement au site d’injection), l’échappement immunitaire des variants, la toxicité de la protéine S et les risques de myocardites post-vaccinales chez les jeunes.

  5. La proposition d’un changement de politique vaccinale, pour nous libérer du monopole vaccinal détenu par les sociétés américaines et britanniques et pour que nous ayons la possibilité de choisir des vaccins à virus inactivé ou même qui utilisent des technologies plus novatrices qui ne semblent pas poser les mêmes risques que les vaccins à ARN messager qui font produire la protéine S à l’organisme – ce qui serait la moindre des choses, si on entend nous contraindre à la vaccination en exerçant sur nous toutes sortes de pressions, ce qui montre aussi que ce qui est dit dans cet entretien n’a rien à voir avec une condamnation en bloc de la vaccination.

Vaccins génétiques, doutes et propagande : entretien (2) avec Jean-Paul Bourdineaud