Interview avec Denis Rancourt sur la non-existence de la pandémie et les causes de la surmortalité

Denis Rancourt (ancien professeur de physique à l’Université d’Ottawa) et les docteurs Marine Baudin et Jérémie Mercier (France) ont publié à la fin du mois d’octobre une étude très intéressante dans laquelle ils soutiennent que, malgré la surmortalité toutes causes confondues bien réelle aux États-Unis, celle-ci ne peut pas avoir été causée par une pandémie, et doit donc s’expliquer par d’autres facteurs. En voici le résumé :

« Nous étudions pourquoi les États-Unis, contrairement au Canada et aux pays d’Europe occidentale, ont une mortalité extrêmement élevée et soutenue pendant « l’ère COVID » survenant de mars 2020 à aujourd’hui (octobre 2021). La mortalité toutes causes confondues dans le temps est la donnée la plus fiable pour détecter de véritables événements catastrophiques causant la mort et pour évaluer l’impact au niveau de la population de toute augmentation du nombre de décès, quelle qu’en soit la cause.

Le comportement de la mortalité toutes causes confondues aux États-Unis par période (semaine, année), par groupe d’âge, par sexe et par état est contraire au comportement pandémique causé par un nouveau virus de maladie respiratoire pour lequel il n’y a pas d’immunité naturelle préalable dans la population. Sa structure saisonnière (maximums d’été), sa répartition par tranche d’âge (jeunes résidents) et sa grande hétérogénéité au niveau des États sont sans précédent et sont à l’opposé du comportement des maladies respiratoires virales, pandémiques ou non. Nous concluons qu’il n’y a pas eu de pandémie.

Nous en déduisons que le stress psychologique chronique persistant induit par les transformations sociétales et économiques de longue durée imposées par le gouvernement pendant l’ère COVID a converti les facteurs de risque sociétaux existants (pauvreté), de santé publique (obésité) et de climat chaud en agents mortels, en grande partie agissant ensemble, avec des conséquences dévastatrices au niveau de la population contre de grands bassins de résidents vulnérables et défavorisés des États-Unis, bien au-dessus de la mortalité préexistante avant l’ère COVID dans ces bassins.

Nous trouvons également une grande épidémie de pneumonie aux États-Unis de l’ère COVID qui n’est pas mentionnée dans les médias ou de manière significative dans la littérature scientifique, qui n’a pas été traitée de manière adéquate. De nombreux décès attribués au COVID-19 peuvent être des décès par pneumonie bactérienne mal diagnostiqués. La campagne de vaccination massive (380 millions de doses administrées, 178 millions d’individus complètement vaccinés, principalement en janvier-août 2021 et mars-août 2021, respectivement) n’a eu aucun effet atténuateur détectable et a peut-être contribué à rendre la population plus jeune plus vulnérable (35-64 ans, mortalité été-2021). »

Nature de la catastrophe de santé publique de l’ère COVID aux États-Unis

(Pour avoir accès à la traduction française, utiliser le menu déroulant dans l’en-tête de la page.)

 

Peu de temps après la publication de cet article, Denis Rancourt a donné une longue interview pour faire connaître ses conclusions au grand public. On est à des milles de distance du dogmatisme et du moralisme des « experts » qui diffusent la position gouvernementale et auxquels les grands médias donnent la parole.