Comment l’ivermectine est devenue la cible de « détectives anti-fraude »

« Point de salut sans les vaccins. » Tel est le mot d’ordre des autorités politiques et sanitaires, des experts autorisés, des médecins qui disent vouloir nous sauver malgré nous, des journalistes devant se soumettre à ligne éditoriale de leur employeur et, bien sûr, des sociétés pharmaceutiques qui s’enrichissent de manière indécente en profitant de la crise. Alors rien d’étonnant à ce que tout ce beau monde crie à la fraude scientifique et même au meurtre quand on leur parle d’un traitement abordable. C’est ce qui est arrivé avec l’hydroxychloroquine en 2020, et c’est ce qui s’est produit avec l’ivermectine en 2021.

Dans son article publié en anglais dans TrialSiteNews et traduit par Enzo L., la journaliste d’investigation (eh oui ! il en existe encore, mais certainement pas parmi les employés des grands médias) Sonia Elijah décrit les attaques concertées dont l’ivermectine a été la cible. Après nous avoir rappelé qu’elle est inscrite sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS et qu’elle a fait l’objet d’un prix Nobel, après nous avoir informé des essais contrôlés randomisés, des études contrôlées, des méta-analyses favorables à son utilisation comme traitement précoce et préventif contre la COVID-19 et des bons résultats obtenus par son utilisation à grande échelle dans l’Uttar Pradesh, en Inde, et en Indonésie, la journaliste nous montre que tous les moyens sont bons pour dénigrer ce traitement et nous pousser à mettre tous nos espoirs dans les vaccins. Même la Food and Drug Administration (FDA) a mis la main à la pâte dans un « tweet » d’une bêtise sidérale et d’une mauvaise foi crasse. Et je pèse mes mots.

S’il est vrai que l’ivermectine peut être utilisée comme vermifuge pour les chevaux, son usage pour les humains est autorisé par la FDA elle-même, et ce pour plusieurs maladies, avec un profil de sécurité éprouvé par 40 ans d’utilisation. C’est donc de la grande science que ce « tweet ». Rappelons que c’est cette même organisation, capable d’un mensonge aussi grossier, qui a autorisé les fameux vaccins aux États-Unis.

Quant aux experts qui sont engagés dans la campagne mondiale de dénigrement de l’ivermectine et de diffamation des scientifiques et médecins qui la défendent comme traitement contre la COVID-19, ils ne reculent devant rien pour arriver à leurs fins : usurpation de titre universitaire, accusations arbitraires, présentation trompeuse des échanges avec les chercheurs qu’il s’agit de discréditer, décision de ne pas soumettre à la critique les études défavorables à l’ivermectine, et même ce qui a tout l’air d’être l’invention de fausses données brutes spécialement pour accuser un chercheur d’avoir falsifié ces données. Et tout ça repris par des médias (la BBC et le Guardian) qui sont généreusement financés par la Fondation Bill et Melinda Gates, engagée dans la promotion de la vaccination à l’échelle mondiale et entretenant des liens financiers avec l’industrie pharmaceutique, dont Pfizer.

Si bien qu’il est légitime de nous demander si les falsificateurs sont les scientifiques et les médecins qui défendent l’utilisation de l’ivermectine comme traitement contre la COVID-19, en s’exposant à être diffamés et en s’attirant toutes sortes d’ennuis, sans en tirer le moindre profit, le médicament en question étant générique et bon marché ; ou si ce sont les scientifiques qui prétendent, avec l’appui des médias, démasquer les études frauduleuses qui présentent l’ivermectine comme un traitement efficace et sûr, ce qui sert assurément les intérêts du cartel pharmaceutique s’enrichissant démesurément grâce à la vente des vaccins, et donc capable de récompenser généreusement ses hommes de main. À vous d’en juger à la lecture de cet article.

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