Vaccins contre la COVID-19 et excès de mortalité toutes causes confondues

Voici une autre intervention de Denis Rancourt (World Council For Health) sur les excès de mortalité toutes causes confondues observés à la suite des campagnes de vaccination de masse contre la COVID-19. Ceux d’entre vous qui suivent ses interventions n’apprendront presque rien de nouveau à ce sujet, à part la confirmation des conclusions des études précédentes par de nouvelles analyses statistiques qui portent maintenant sur 17 pays du Sud (COVID-19 vaccine-associated mortality in the Southern Hemisphere). Ce qui est surtout intéressant dans cette vidéo, c’est que Rancourt fait un survol des conclusions ses études antérieures, qu’il met en relation avec les conclusions de sa nouvelle étude. Il s’agit donc d’une bonne introduction pour qui ne connaîtrait pas encore ses recherches qui montrent que les décès de 2020 ne peuvent pas avoir été causés par une maladie respiratoire infectieuse, mais l’ont plutôt été par les mesures malsaines imposées sous prétexte de lutter contre le virus ; que dans plusieurs juridictions la mortalité excédentaire a commencé seulement après les campagnes de vaccination de masse ; et que la toxicité des vaccins augmente de manière importante en fonction de l’âge et du nombre de doses reçues, si bien qu’il est justifié d’y voir une sorte d’empoisonnement. Une personne sur huit cents serait morte à cause des vaccins pour l’ensemble des groupes d’âge, alors que la proportion serait d’une personne sur vingt pour les personnes très âgées, ce qui a pu donner l’impression que des lots de vaccins étaient plus toxiques que d’autres, selon qu’ils ont été injectés à des personnes très âgées et déjà malades ou à des personnes plus jeunes et en assez bonne santé. Selon les estimations de Rancourt, environ 17 millions de personnes sont, pour l’instant, mortes dans le monde à cause des vaccins contre la COVID-19.

Enfin, Rancourt fait de brèves remarques sur la raison d’être des campagnes de vaccination massive. Selon lui et contrairement à ce que pensent d’autres dissidents, les vaccins contre la COVID-19 ne sont pas des armes biologiques malgré les décès qu’ils provoquent, puisque ceux-ci ne sont pas assez nombreux pour avoir un effet global sur la population et le bon fonctionnement des sociétés. Il s’agirait plutôt d’atteindre un objectif militaire qui consiste à habituer la population à se faire injecter massivement des produits pharmaceutiques, ce qui pourrait éventuellement servir pour tuer un plus grand nombre de personnes ou pour les rendre malades. Pour déterminer si les vaccins contre la COVID-19 doivent bien être considérés comme des armes biologiques, il faudra attendre de mieux connaître les effets nuisibles pour la santé à plus long terme, par exemple en ce qui concerne les cancers et la natalité, puisque rien n’oblige une arme biologique à produire rapidement ses effets, surtout si on la considère comme une sorte de poison cumulatif. Quoi qu’il en soit, nous en savons assez pour dire qu’on devrait mettre fin immédiatement à la vaccination de masse, tout particulièrement quand il s’agit de personnes très âgées et malades, qui ont une chance sur vingt de mourir des suites de cette injection et dont la mortalité accrue pourrait être utilisée pour réimposer une partie ou la totalité des mesures malsaines qu’on fait passer pour des mesures sanitaires et qui jouent aussi un rôle dans l’augmentation de la mortalité, et pour justifier le retour en force des contraintes vaccinales.