La science n’est pas du côté des promoteurs des vaccins

Nos autorités politiques et sanitaires ont beau faire les gros yeux et frapper bruyamment le sol du talon, les journalistes ont beau se scandaliser de notre existence ou prêcher la croisade contre nous, la science n’est pas de leur côté. C’est ce que montre Jacques Pollini, chercheur au Département d’anthropologie de l’Université McGill en nous faisant part des raisons pour lesquelles il ne se fait pas vacciner. Il est rare que des intellectuels québécois ou établis au Québec osent se montrer critiques à l’égard des idées reçues sur les vaccins. Je sais : ce chercheur n’est pas un microbiologiste, un virologue ou un médecin. Certains en concluront qu’il devrait rester dans son domaine et éviter de s’exprimer publiquement sur les vaccins. Alors ce principe ne devrait pas seulement s’appliquer à lui. À ce compte, les journalistes, qui sont des spécialistes des communications, ne seraient aucunement habilités à nous parler des vaccins. Et notre premier ministre et notre ministre de la Santé et des Services sociaux ne sont pas plus compétents dans le domaine, les deux étant hommes d’affaires et comptables. En fait, M. Pollini ayant plusieurs cordes à son arc et ayant fait des études et des recherches en biologie, en écologie et en agronomie, est certainement plus apte à lire et à comprendre la littérature scientifique et à juger de ce qu’il en est, que le sont tous les faiseurs de leçons, élus ou non, qui cherchent à obtenir de nous que nous consentions à nous faire vacciner.

À noter que la position de M. Pollini – même s’il est ferme dans sa décision de ne pas se faire vacciner – n’est pas dogmatique. Même s’il s’appuie sur une imposante littérature scientifique et sur les avis d’experts de renom, il ne prétend pas à l’infaillibilité et se dit prêt à revoir ses idées dans le cadre d’un débat contradictoire. Ce qu’il déplore, c’est justement que le débat est catégoriquement refusé par les autorités politiques et sanitaires et les journalistes qui peignent les personnes non vaccinés comme des demeurés incapables de lire, comme des hurluberlus croyant à des superstitions absurdes ou comme de dangereux égoïstes, ce qui les dispense d’argumenter et de considérer les arguments de leurs adversaires.

 

« Les raisons pour lesquelles nous ne devons pas nous laisser intimider par ceux qui nous reprochent de ne pas être vacciné

par Jacques Pollini, PhD, chercheur et consultant

Nous, non vaccinés, sommes dépeints comme des complotistes délirants qui croient que la terre est plate, comme des libertaires égoïstes, ou comme des ignorants anti-sciences. Nous sommes mis au ban de la société et beaucoup suggèrent déjà de nous isoler. Il est important que nous trouvions des parades face à cette opprobre croissante, tout en contrôlant nos propres réactions émotionnelles afin de ne pas alimenter la division sociale. Dans ce post, je rappellerai les raisons pour lesquelles je ne me fais pas vacciner, avec une mise à jour à la lumière des récents acquis scientifiques. Je montrerai que la science n’est pas du côté de ceux qui prônent la vaccination de tous, et que ceux qui le prétendent devraient lire la littérature sur les traitements précoces et se documenter sur la corruption des institutions médicales.

Introduction

N’étant toujours pas vacciné contre la COVID, pour les raisons déjà expliquées dans mes posts précédents, et n’ayant toujours pas l’intention de l’être sauf si des vaccins traditionnels (à virus atténué) et ayant terminé toutes leur phases expérimentales étaient disponibles, par exemple le vaccin Valneva, je rencontre de plus en plus de messages désobligeants ou insultants, parfois de mes amis proches. Nous, non vaccinés, sommes tous dans cette situation. Nous sommes dépeints comme des complotistes délirants qui croient que la terre est plate, comme des libertaires égoïstes, ou comme des ignorants anti-sciences. Nous sommes mis au ban de la société et beaucoup suggèrent déjà de nous isoler. Même les intellectuels qui nous inspirent, comme Noam Chomsky, suggèrent cette « solution ». Il est important que nous trouvions des parades face à cette opprobre croissante, tout en contrôlant nos propres réactions émotionnelles afin de ne pas alimenter la division sociale. Il est important également que nous ne nous laissions pas intimider, nous serrions les coudes, et ne fassions pas l’erreur de nous faire vacciner sous la pression. Dans ce post, je rappellerai les raisons pour lesquelles je ne me fais pas vacciner, avec une mise à jour à la lumière des récents acquis scientifiques. La science n’est pas du côté de ceux qui prônent la vaccination de tous, car ils lui préfèrent le scientisme. Cela, nous ne devons jamais cesser de le rappeler, en faisant le travail que les journalistes ne savent plus faire. Je terminerai en m’adressant à nos détracteurs, en leur lançant un appel pour un débat qui se base sur les faits et la recherche médicale, et en les incitant à explorer les résultats des recherches en sciences sociales portant sur l’institution médicale. »

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