Micro-caillots sanguins et dérèglement du système immunitaire

Les mois passent et les effets secondaires des vaccins à moyen ou à long terme, que nous connaissions mal au début de la campagne de vaccination massive, commencent à être mieux connus. Et ce n’est pas rose, loin de là.

Nous avons beaucoup entendu parler des thromboses causées par les vaccins. Mais c’est seulement la pointe de l’iceberg. Car des micro-caillots difficiles à détecter se forment chez une proportion importante des personnes vaccinées. Et qu’on ne s’imagine pas, parce que ces caillots sont minuscules, qu’ils ne peuvent pas être très dommageables pour la santé.

Le Dr Charles Hoffe, un médecin de Colombie-Britannique qui a une colonne vertébrale et un cerveau en état de marche, et qui a justement été congédié pour cette raison, décrit comment ces micro-caillots se forment et comment ils peuvent causer des dégâts importants. Difficile de trouver un équivalent au Québec. La crise actuelle nous aura au moins permis de réaliser que nos concitoyens anglophones sont moins ramollis que nous et d’apprendre à les estimer en conséquence.

Et le Dr Sucharit Bhakdi, un microbiologiste allemand qui critique publiquement les mesures dites sanitaires depuis leur entrée en vigueur, fournit non seulement des explications plus détaillées à propos de la manière dont ces micro-caillots en viennent à se former chez un grand nombre de personnes vaccinés, en faisant aussi la critique des essais cliniques et des autorisations d’urgence accordées par les gouvernements occidentaux, il explique aussi la grande efficacité de l’immunité naturelle contre le virus et tous ses variants, et la manière dont le système immunitaire de nombreuses personnes vaccinées pourrait être détraqué par les vaccins, notamment en entraînant une réaction démesurément forte pour un virus aussi peu dangereux pour la plupart d’entre nous. Sans compter le risque de développer des maladies auto-immunes.

Pour ne pas simplifier à outrance les explications du Dr Bhakdi, ou encore les déformer en essayant de les traduire, je vous renvoie à cet interview.

Ça n’augure pas bien pour les personnes vaccinées. Contrairement à ce qu’on nous annonce, ce pourrait bien être elles qui seront infectées lors du prochain véritable épisode épidémique (ce que n’est pas la quatrième vague pour l’instant) de COVID-19. Ce qu’on s’empressa probablement d’attribuer à quelque nouveau variant plus contagieux et plus létal, qui serait tout droit sorti des usines à variants, à savoir les personnes non vaccinées.

Et il ne s’agit pas seulement de notre santé : nous qui ne sommes pas vaccinés avons la responsabilité, en persistant dans notre décision et en ne nous exposant pas à un risque accru de complications, de ne pas apporter de l’eau au moulin de nos autorités politiques et sanitaires, de nos journalistes et des soi-disant experts bien en vue, et de ne pas contribuer à faire perdre la tête à ceux de nos concitoyens qui sont sous l’emprise de la propagande vaccinale. La campagne de vaccination dite massive pourrait devenir encore plus agressive et aggraver la situation par l’injection d’une troisième dose de soi-disant vaccin à une partie plus ou moins grande de la population, sans compter l’intensification des pressions et des punitions auxquelles on exposerait les personnes non vaccinées afin qu'elles rentrent enfin dans les rangs en faisant leur devoir de vaccination et en cessant d’être des usines à variants, comme on dit.

Si vous n’avez pas encore reçu une première dose de soi-disant vaccin, ne cédez pas aux pressions. Si vous avez reçu une première dose, pensez-y bien avant d’aller vous faire administrer la seconde dose. Si vous avez reçu les deux doses prescrites, il n’y a rien d’autre à vous dire que, de grâce, n’allez surtout pas vous en faire injecter une troisième, comme on a commencé à le faire dans d’autres pays.

Certains penseront que, si l’échec de la solution vaccinale devient très évident, on se tournera enfin vers les traitements ambulatoires précoces, vers des médicaments comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. Outre le fait qu’on pourrait très bien essayer d’obtenir avec trois ou quatre doses de vaccins ce qu’on n’a pas réussi à obtenir avec deux doses, il est fort douteux que nos autorités politiques et sanitaires opteront pour des solutions qu’elles ont écartées pour mettre de l’avant les injections expérimentales, comme si elles étaient la seule possibilité. Nos autorités perdraient alors la face. Puisque les compagnies pharmaceutiques réalisent présentement des essais cliniques pour des traitements dont l’utilisation pourrait être autorisée cet hiver (par exemple la molécule PF-07321332 de Pfizer), c’est encore plus douteux. Nos autorités politiques et sanitaires pourraient donc décider de soigner les personnes qui ont des complications causées ou aggravées par les vaccins avec ces nouveaux traitements eux aussi expérimentaux, sans nécessairement interrompre la vaccination. Si une telle situation venait à se produire, les sociétés pharmaceutiques feraient des profits monstrueux en vendant de nouveaux traitements expérimentaux sous prétexte de soigner des complications en réalité dues à leurs vaccins expérimentaux qu’on continuerait à injecter. Et c’est sans parler d’un possible retour ou durcissement du confinement (nous n’en sommes pas complètement sortis malgré le plan de déconfinement estival), qui achèverait notre économie, pour ne pas dire notre société ou ce qu’il en reste. Nous serions alors vraiment dans de beaux draps ! Nous nous engagerions dans une spirale descendante (en fait nous y sommes déjà) dont il serait très difficile de sortir, et dont beaucoup d’entre nous pourraient sortir très mal en point, si jamais nous réussissions à en sortir.

Pour les intéressés, un chapitre du livre du Dr Bhakdi (Corona Unmasked, 2021) est disponible gratuitement en anglais :

The Vaccination Craze