Surpopulation et dépopulation (5)

Une nouvelle manière de calculer l’efficacité vaccinale

Alors qu’on continue à observer une surmortalité toutes causes confondues dans les pays occidentaux les plus vaccinés, les autorités politiques et sanitaires préparent une nouvelle campagne de vaccination en prévision du retour de l’hiver et en raison de l’apparition du nouveau variant nommé Éris, en l’honneur de la déesse de la discorde, aussi fille de la nuit. Je ne peux qu’admirer leur persévérance. C’est la raison pour laquelle – en plus de ne pas aimer la discorde et le nuit – je veux ici les aider en leur proposant une nouvelle manière de calculer l’efficacité des nouveaux vaccins qu’on nous injecte depuis la fin de l’année 2020. Après tout, c’est dans l’ordre des choses : pour le nouveau coronavirus et les nouveaux variants, il a fallu et il continue de falloir de nouveaux vaccins ; et pour ces nouveaux vaccins, il faut une nouvelle manière de calculer l’efficacité vaccinale. Car la nouveauté engendre toujours la nouveauté. C’est là toute la beauté de la vie. La principale difficulté à laquelle sont confrontés ceux qui comme nous tiennent à tout prix à prouver l’efficacité des vaccins, c’est qu’il apparaît toujours des nouveaux variants, et que les producteurs de vaccins – les pauvres…

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Politiques de contrôle de la population (1) – Les « élites » et la populace occidentales

Suite du billet du 3 juin 2023. Quoi que nous pensions de l’hypothèse selon laquelle la dépopulation serait l’un des objectifs de la vaccination massive qu’a permis de faire accepter cette histoire de COVID, ainsi que du déclin économique qu’on a provoqué ou plutôt accéléré grâce aux politiques de confinement, aux sanctions contre la Russie et à la grande transition énergétique sous prétexte de lutte contre les changements économiques, il est clair que les élites économiques occidentales ont, depuis leur formation, contrôlé de toutes sortes de manière la population (c’est-à-dire nous), en fonction de ce qu’étaient ou de ce qu’elles croyaient être leurs intérêts à tel ou tel moment. Elles ont contribué à la mise en place de politiques natalistes quand elles avaient besoin de soldats et de colons pour étendre leur empire et subjuguer d’autres populations, ou encore de travailleurs à exploiter et de consommateurs à arnaquer. Elles n’ont pas hésité à alimenter à de nombreuses reprises les tendances belliqueuses des chefs politiques et à envoyer à l’abattoir la population afin de s’enrichir en pratiquant le commerce très lucratif de l’armement, et par la même occasion à décimer et à enrôler la populace devenue trop nombreuse, trop turbulente et…

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Le tabou du contrôle politique de la population humaine

S’il y a une chose qui fait grincer des dents et même qui scandalise les bien-pensants qui constituent l’essentiel de nos sociétés et aussi les dissidents, c’est l’idée d’un contrôle politique de la population humaine. Il suffit d’évoquer cette idée, sans même la défendre, seulement pour l’examiner ou la discuter, pour se faire soupçonner ou accuser d’avoir des idées totalitaires. Il y a des différences, il est vrai. Les plus conservateurs d’entre nous refusent le droit à l’avortement ou cherchent à le limiter – ce qui revient à imposer un devoir d’avoir des enfants qu’on ne veut pas – en se qualifiant eux-mêmes de « pro-vie » et en considérant souvent leurs adversaires comme des assassins ou des tueurs de fœtus, sauf peut-être quand il s’agit d’une femme ou d’une adolescente violée, à plus forte raison si c’est un cas d’inceste. S’ils sont prêts à reconnaître que la société ou l’État peut intervenir pour empêcher l’interruption d’une grossesse non désirée, et donc se mêler de la procréation ou de la reproduction au détriment de la liberté des femmes d’en décider autrement, ils refusent catégoriquement cette idée quand il s’agit plutôt de réguler la reproduction, dans le but de diminuer la population ou…

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Le suicide assisté pour contrecarrer l’imposition de mesures soi-disant sanitaires

Le suicide assisté est très impopulaire chez les opposants conservateurs et religieux aux mesures soi-disant sanitaires, qui tendent à sacraliser la vie humaine, indépendamment des conditions de vie concrètes. Même des opposants qui ne sont pas particulièrement conservateurs et qui ne sont pas croyants sont réticents à l’idée de légaliser le suicide assisté ou de le rendre plus accessible, aux personnes âgées en mauvaise santé et dépourvues d’autonomie, et aux personnes plus jeunes atteintes d’une maladie incurable qui les fait souffrir, qui limite considérablement leur liberté, qui les rend très dépendants des autres, et qui fait d’eux la chose du système hospitalier. Parfois convaincus, à tort ou à raison, qu’un grand projet de réduction de la population est en cours, et que les traitements sordides dont ont été l’objet les personnes âgées les plus vulnérables à partir de 2020 s’inscrivent dans ce projet, le suicide assisté, même volontaire, scandalise plusieurs d’entre eux. D’autres craignent que la bureaucratie hospitalière et les professionnels de la santé tuent des personnes vulnérables qui n’ont jamais donné leur consentement au suicide assisté, pour désengorger le système de santé en libérant des lits, et pour éliminer des dépenses inutiles ; et croient qu’il faudrait interdire ou…

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Problèmes de surpopulation et de dépopulation

« Les villes continues. 3. Chaque année, dans mes voyages, je fais une halte à Procope et je prends logement dans la même chambre de la même auberge. Depuis la première fois, je m’arrête pour contempler le paysage qu’on voit en écartant les rideaux de la fenêtre : un fossé, un pont, un petit mur, un sorbier, un champ de maïs, un buisson avec des mûres, un poulailler, le dos d’une colline jaune, un nuage blanc, un morceau de ciel bleu, en forme de trapèze. Je suis certain que la première fois, on ne voyait personne ; ce n’est que l’année suivante qu’à un mouvement entre les feuilles, j’ai pu distinguer une face ronde et plate qui grignotait un épi de maïs. Un an après, ils étaient trois sur le petit mur, et à mon retour, j’en vis six, assis en file, les mains sur les genoux, avec quelques sorbes dans une assiette. Chaque année, à peine entré dans la chambre, je relevais le rideau et comptais quelques faces de plus : seize, y compris ceux qui se trouvaient au fond du fossé ; vingt-neuf, dont huit perchés dans le sorbier ; quarante-sept, sans compter ceux du poulailler. Ils se ressemblent, ils ont l’air gentil, ils…

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