Pour notre bien

C’est pour notre bien :

  • qu’on nous traite tous, quels que soient notre âge et notre état de santé, comme des vieillards à l’article de la mort ;

  • qu’on nous considère, par principe de précaution, malades quand nous n’avons pas de symptômes ;

  • qu’on nous séquestre à domicile quand nous obtenons un résultat positif à la suite d’un test de dépistage, même quand nous n’avons pas le moindre symptôme ;

  • qu’on en fait autant quand nous avons été en contact avec un cas confirmé, même quand le résultat du test de dépistage s’avère négatif ;

  • qu’on a terrorisé le personnel soignant pendant la « première vague », lequel ne voulait parfois plus se rendre au travail pour soigner les résidents des CHSLD ;

  • qu’on se propose de congédier des milliers de travailleurs de la santé non vaccinés à l’approche de l’hiver, précisément quand le réseau de la santé sera soumis à d’importantes pressions à cause des infections respiratoires virales saisonnières, comme à tous les ans ;

  • qu’on nous a fait adopter un mode de vie qui incite à l’inactivité et qui contribue à l’apparition de conditions de santé rendant plus vulnérables au virus ;

  • qu’on a créé, grâce au confinement, des conditions propices à la violence conjugale et parentale, à la dépression, au suicide, à l’alcoolisme, à la consommation de drogues dures et aux surdoses ;

  • qu’on nous a interdit pendant des mois de participer à des rassemblements privés et publics ;

  • qu’on nous autorise maintenant à participer à des rassemblements à certaines conditions, en nous soumettant parfois à des contrôles rigoureux ;

  • que le gouvernement nous soumet à une discipline hospitalière constante ;

  • que nos employeurs nous imposent des consignes sanitaires supplémentaires ;

  • qu’on nous a empêché de quitter notre domicile le soir et la nuit pendant des mois ;

  • que nous avons été incités par les autorités à dénoncer aux forces policières ceux d’entre nous qui ne respectent pas rigoureusement les mesures sanitaires ;

  • qu’on autorise les forces policières à donner des constats d’infraction pour non-respect des mesures sanitaires ;

  • que des hélicoptères et des drones survolent les villes pour surveiller l’application des mesures sanitaires ;

  • qu’on réglemente minutieusement tous nos loisirs ;

  • qu’on exige que nous portions en tous temps dans les lieux publics un masque chirurgical ou un bout de chiffon sur le visage ;

  • qu’on nous oblige à prouver que nous sommes vaccinés pour entrer dans un restaurant ou un café ;

  • que le gouvernement incite les employeurs à exiger la vaccination de leurs employés et qu’on nous menace de nous priver de nos moyens de subsistance en cas de refus ;

  • que le gouvernement a signé des contrats de gré à gré, c’est-à-dire sans appel d’offres, pour la fourniture de produits sanitaires et pharmaceutiques ;

  • qu’on donne des sommes faramineuses à l’industrie pharmaceutique pour des vaccins qui ne procureraient pas une immunité durable ou qui ne seraient pas efficaces contre les nouveaux variants qui ne cessent d’apparaître ;

  • que les agences de santé, en disposant seulement des données fournies par les marchands de vaccins, approuvent leur injection aux adultes et aux enfants en l’espace de quelques mois ou de quelques semaines seulement ;

  • qu’on vaccine même les personnes qui sont très peu à risque d’avoir des complications si elles sont infectées par le virus ;

  • qu’on ne rend pas public le contenu des contrats signés entre nos gouvernements et les marchands de vaccins ;

  • que nos gouvernements ont consenti à mettre les marchands de vaccins à l’abri d’éventuelles poursuites judiciaires en cas d’éventuels effets secondaires graves ;

  • qu’on ne rend pas publiques les données brutes sur le nombre de cas d’infection, d’hospitalisations et de décès en fonction du statut vaccinal ;

  • qu’on menace, sanctionne, calomnie ou ignore les scientifiques et les médecins qui contestent le soi-disant consensus scientifique et médical sur la gestion de la pandémie et la solution vaccinale ;

  • qu’on a renvoyé les élèves à la maison pendant des mois, en remplaçant l’enseignement en présentiel par le télé-enseignement ;

  • qu’on a interdit ou contrôlé rigoureusement les cours en classe sur les campus universitaires et collégiaux ;

  • qu’on a mis en place des conditions d’enseignement, à distance ou en classe, rendant difficile autre chose que le déversement de « savoirs » dans la tête des étudiants, par exemple le développement de véritables capacités d’analyse et d’un certain esprit critique ;

  • qu’on a fermé de nombreux secteurs de l’économie à deux reprises pendant des mois ;

  • qu’on a provoqué la perte et même la disparition de nombreux emplois à temps complet, parfois remplacés par des emplois à temps partiel ;

  • qu’on a provoqué la fermeture et l’endettement de nombreuses petites et moyennes entreprises ;

  • qu’on a entravé la reprise des activités de ces entreprises en leur imposant des conditions qui rebutent la clientèle ou qui ne permettent pas de l’accueillir en aussi grand nombre qu’avant ;

  • qu’on a interdit aux commerces jugés non essentiels de faire des affaires, en rendant seulement les achats possibles grâce au commerce en ligne, dominé par de grandes entreprises dont les principaux actionnaires sont démesurément riches ;

  • qu’on a rompu ou affaibli plusieurs chaînes d’approvisionnement et qu’on a provoqué une importante hausse du taux d’inflation ;

  • que le gouvernement a fait un déficit sans précédent ;

  • que le gouvernement s’est accordé à lui-même des pouvoirs exceptionnels dont il ne semble pas vouloir se départir ;

  • que le gouvernement se propose de faire durer les mesures sanitaires après la fin de l’état d’urgence sanitaire.

LONGUE VIE AU VIRUS, À LA PANDÉMIE ET AU GOUVERNEMENT POUR TOUS CES BIENFAITS !