Les injections de Pfizer contre la COVID-19 : plus de mal que de bien

Voici la traduction d’une vidéo de l’Alliance canadienne pour la prévention et la prise en charge de la COVID sur tout ce qui ne va pas avec les essais cliniques des injections de Pfizer contre le COVID-19, leur autorisation de mise en marché, leur administration à toute la population et la surveillance des effets secondaires. C’est un remarquable travail de synthèse. Il y a tellement d’irrégularités que j’aurais de la peine à toutes les nommer dans cette présentation de la vidéo. Voici néanmoins une liste non exhaustive des irrégularités dans la conception et le déroulement des essais cliniques :

  1. La sous-représentation des groupes d’âge à risque de tomber gravement malade et de mourir de la COVID-19, ainsi que des personnes qui ont des comorbidités, alors que c’est à ces personnes que les injections devraient surtout servir.

  2. L’exclusion, entre autres, des femmes enceintes, des personnes atteintes de maladies auto-immunes et des personnes ayant déjà attrapé la COVID-19, si bien qu’on ne sait rien de la sécurité des injections pour ces personnes.

  3. Le recours à la réduction du risque relatif, et non à la réduction du risque absolu, pour donner l’impression que les injections sont beaucoup plus efficaces qu’elles ne les sont en réalité.

  4. Plusieurs participants dont le suivi n’aurait pas pu être fait en raison d’une perte de contact.

  5. Un grand nombre de personnes, dans le groupe inoculé et non inoculé, qui n’ont pas été dépistées même si elles avaient des effets assimilables à la COVID-19, puisque cela n’était pas fait de manière systématique et était laissé à la discrétion des chercheurs.

  6. L’absence de comparaison de l’immunité acquise grâce aux injections avec l’immunité naturelle, due au fait qu’il n’y a pas de groupe qui a déjà attrapé le virus et qui est inoculé et de groupe qui a déjà attrapé le virus et qui est non inoculé, lesquels on aurait pu comparer avec le groupe qui n’a pas attrapé le virus et qui a été inoculé et le groupe qui n’a pas attrapé le virus et qui n’a pas été inoculé.

  7. La réduction de la propagation non testée.

  8. Report en annexe de la comparaison des effets secondaires graves et des décès dans les deux groupes de participants.

  9. La maladie et la mortalité toutes causes confondues (et pas seulement de la COVID-19) dans les deux groupes ne sont pas les principaux critères d’évaluation du rapport bénéfices-risques.

  10. L’élimination du groupe non inoculé à la fin de l’année 2020, ce qui rend impossible la collecte de données fiables à moyen et à long terme sur l’efficacité et la sécurité des injections.

  11. L’absence de suivi des biomarqueurs pour détecter des indices de l’existence de problèmes de coagulation, d’inflammation, de dommage cardiaque, d’hypoxie et de prédispositions à la maladie d’Alzheimer et à des maladies auto-immunes.

  12. L’absence de bénéfices pour les adolescents de 12 à 15 ans en santé et l’existence de risques de myocardite.

  13. Des événements indésirables graves non déclarés pour les adolescents.

  14. Combinaison des résultats des essais cliniques sur les adultes et les enfants pour calculer l’efficacité après six mois, afin de donner une fausse impression d’efficacité durable en profitant du fait que l’étude sur les enfants a commencé 4 mois plus tard que celle sur les adultes.

Pensez-y donc bien avant de recevoir vos premières injections ou d’en recevoir une troisième parce que le gouvernement vous dit que c’est ainsi qu’on peut éviter la saturation des hôpitaux, ou parce qu’il vous menace de vous faire payer une amende déguisée en « contribution santé » ou vous interdire l’accès aux commerces non essentiels, en commençant par la SAQ, la SQDC et les magasins de plus de 1500 m².

Voici le document PDF qui a été utilisé dans cette vidéo :

The Pfizer Inoculations for COVID-19 ⁻ More Harm than Good