Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse

Alors que nos autorités politiques et sanitaires continuent à ne jurer que par les vaccins, et qu’elles en font une sorte de Messie qu’il faut louer à proportion que le salut promis tarde à venir, les conséquences de la vaccination commencent à être connues du grand public, notamment les troubles cardiaques, malgré les efforts considérables faits par les gouvernements, les agences de santé, les médecins, les scientifiques et les journalistes pour les dissimuler ou les ignorer, qu’ils soient des dupeurs ou des dupés qui se dupent les uns les autres. Même la dernière étude de Pfizer sur son vaccin confirme ce que montrent les données officielles de pharmacovigilance dans plusieurs pays, les témoignages à propos de graves complications ou de décès à la suite de la vaccination, et aussi les cris d’alerte lancées par plusieurs scientifiques, à savoir une hausse de la mortalité et des accidents de santé dans les groupes d’âge qui sont très peu à risque de tomber gravement malades ou de mourir en cas d’infection par le virus. Si bien que les risques dépassent largement les bénéfices pour ces personnes vaccinées, qui constituent la majorité de la population.

Il est vrai que ces constats n’apparaissent pas dans le titre ou le résumé de l’étude. Mais si on se donne la peine d’analyser les données disponibles dans les appendices, on peut y faire des découvertes étonnantes. C’est ce qu’a fait pour nous un spécialiste qui a décidé de garder l’anonymat en œuvrant sous le pseudonyme de « Marceau », afin de ne pas s’exposer à des représailles de toutes sortes. Mais comme il ne se pose pas comme une autorité – contrairement aux chefs politiques, aux gestionnaires de la santé et aux journalistes, et aussi aux médecins et aux scientifiques qui abondent dans le même sens qu’eux – qu’il faudrait croire sur parole, en mettant son cerveau à la remise, son action clandestine ne pose pas problème. En effet, le lecteur est invité à se demander si la démarche de Marceau est plus rigoureuse que celle de tout ce beau monde, à soumettre à la critique ses analyses, et à lire en totalité ou en partie l’étude de Pfizer, pour s’assurer qu’il ne falsifie pas les résultats qui y sont rendus publics ou qu’il ne se trompe pas.

Marceau remarque les choses suivantes :

  • qu’en vaccinant 22 000 personnes, on empêcherait un décès dû à la COVID-19, ce qui veut dire qu’on ne réduit pas, statistiquement parlant, la mortalité due au virus ;

  • qu’il y a plus de décès, d’effets secondaires graves et d’hospitalisations dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo ;

  • qu’on a arrêté le suivi des effets secondaires graves un mois après l’administration de la seconde dose de vaccin, alors que ce suivi était censé être de 6 mois, possiblement pour ne pas avoir à enregistrer les effets secondaires qui devenaient plus communs dans le groupe vacciné ;

  • qu’on a fait disparaître le groupe placebo en le vaccinant au début de l’année 2021, en invoquant des « raisons » éthiques, alors que la majorité des participants n’étaient pas susceptibles d’avoir de graves complications et de mourir en cas d’infection ;

  • qu’il en résulte qu’il sera impossible de connaître les effets secondaires de la vaccination à moyen et à long terme, et de prouver les aggravations de la COVID-19 faisant suite à la vaccination (ADE pour Antibody-dependant Enhancement) ;

  • que l’on a bidouillé les données sur les arrêts cardiaques, dont la fréquence est beaucoup plus basse, dans les groupes vacciné et placebo de l’essai clinique, que ce qui est normalement observé dans la population ;

  • que le bénéfice des injections est tout simplement négatif ;

  • qu’en temps normal un pareil produit n’aurait pas été approuvé ou aurait été retiré du marché après quelques mois.

Mais cette étude de Pfizer a beau être foireuse, nos autorités politiques et sanitaires, non contentes d’avoir vacciné une très forte majorité des adultes et des adolescents, veulent maintenant vacciner les enfants de 5 à 11 ans, groupe qui n’est pourtant aucunement à risque, et pour lequel la vaccination ne procure aucun bénéfice et les expose donc seulement à un risque d’effets secondaires. Par-dessus le marché, on exerce des pressions sur les personnes non vaccinées, on leur interdit arbitrairement d’accéder à certains lieux publics et de participer à certaines activités, et parfois on prétend même les empêcher d’exercer leur profession, en les suspendant sans solde si elles n’obtempèrent pas.

Mais assez parlé. Je vous renvoie à l’article de Marceau, publié sur CovidHub.ch :

Pfizer contre Pfizer : la dernière étude est frauduleuse