Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS

Voici un autre article d’Enzo Lolo, où le nombre d’événements indésirables liés aux vaccins contre le COVID-19 est comparé au nombre d’événements indésirables liés aux 15 principales familles de vaccins administrés depuis 1968. Le seul fait qu’on puisse faire cette comparaison, alors que la vaccination massive a commencé il n’y a pas encore un an, montre que les fameux vaccins ne sont pas aussi sécuritaires qu’on se plaît à nous le dire. Pourtant on vaccine toute la population, peu importe le risque faible que représente pour elle la COVID-19 pour la majorité d’entre nous. Même les jeunes adultes et les adolescents n’y échappent pas et font l’objet d’une attention toute particulière de la part de nos autorités politiques et sanitaires, alors qu’ils n’ont que très rarement des complications et que les risques sont donc forcément plus grands que les bénéfices escomptés. Encore pire, on veut « inciter » les non-vaccinés à recevoir le précieux sérum en menaçant de les priver de services jugés non essentiels.

« Entretenue par des déclarations politiques prônant l’autorité, la tension semble monter entre une part de la population peu encline à recevoir l’un des vaccins anti-Covid disponibles en France, et une partie de l’opinion, plus proche de la position officielle, souhaitant accélérer et généraliser la vaccination.

Si ces deux « camps » s’opposent, c’est probablement parce que les informations dont ils disposent ne sont pas les mêmes.

A la recherche d’informations peu accessibles dans le débat public, on a consulté la base de pharmacovigilance de l’OMS, qui regroupe les déclarations d’effets secondaires des médicaments au niveau mondial.»

Article censuré (dépublié, comme disent les censeurs) par la rédaction de Mediapart :

Covid-19 - Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l'OMS