Les bons conseils de l’ancien commissionnaire inter-ministériel belge pour la gestion de la soi-disant pandémie de grippe porcine (janvier 2019)

J’ai raté cette conférence de janvier 2019 republiée et traduite par Kairo Presse (chaîne Odysee) en décembre 2020, pour la simple raison que je ne connaissais pas encore ce média indépendant à ce moment. Environ un an avant que les autorités politiques et sanitaires et les grands médias commencent à nous casser les oreilles avec cette histoire farfelue de méchant virus provenant d’un pangolin et d'une chauve-souris qui, dans un marché chinois insalubre, auraient été à l’origine de la zoonose grâce à laquelle ce méchant virus aurait entraîné une pandémie sans précédent, Marc Van Ranst, commissionnaire inter-ministériel pour la gestion de la soi-disant pandémie de grippe porcine en 2009-2010, nous raconte ses expériences. La conférence a eu lieu au Royal Institute of International Affairs, un think tank aussi connu sous le nom de Chatham House. Ce sont donc surtout des bureaucrates des différents pays occidentaux qui y assistent et qui s’y bidonnent. C’est pourquoi la médecine et la science n’occupent pas la moindre place dans cette conférence, qui porte essentiellement sur la communication des autorités sanitaires pour obtenir le consentement de la population, pendant la soi-disant pandémie de grippe H1N1, et aussi en prévision d’une future pandémie. Et si les stratégies de communication ont quelque peu différé à compter de 2020, quand Van Ranst est devenu membre du Comité scientifique belge pour le coronavirus et du Risk Assessment Group (RAG), c’est qu’il fallait effrayer et prendre les mesures musclées nécessaires pour obtenir le consentement des populations qui ont résisté à la vaccination une dizaine d’année plus tôt (comme les Wallons, qui ont subi la mauvaise influence des Français), c’est qu’il fallait lutter bec et ongles contre la désinformation qui circulerait sur les réseaux sociaux, c’est que les autorités sanitaires disposaient de plus d’argent à consacrer aux relations publiques.

À moins d’être un benêt de première classe, il devient de plus en plus difficile de ne pas voir qu’on préparait le terrain bien avant 2020, et que cette histoire de pandémie de COVID-19 a été orchestrée. Mais les personnes qui se font un point d’honneur de ne pas se déniaiser y verront probablement une preuve des excellentes capacités d’anticipation des autorités sanitaires occidentales.