Entretien avec Denis Rancourt sur les aspects politiques de la crise

Jusqu’à maintenant je connaissais Denis Rancourt pour ses études scientifiques, notamment sur les causes véritables de la surmortalité observée aux États-Unis, à savoir les mesures de confinement et les réactions inappropriées des systèmes santé, aggravées par la pauvreté et l’obésité. J’ai donc été agréablement surpris de le voir, dans cet entretien mis en ligne de 13 janvier 2022, traiter de questions sociales et politiques, la crise actuelle ne pouvant évidemment pas être réduite à une crise sanitaire.

Après une entrée en matière sur des questions de santé, voici quelques-unes des questions qui sont abordées dans cet entretien sur les aspects sociaux et politiques de la crise :

  • L’application à la population de mesures de guerre visant à détruire toute possibilité de démocratie et de résistance, ainsi que les raisons géopolitiques qui pourraient motiver cette orientation politique.

  • Le profil carriériste des médecins, des scientifiques et des bureaucrates qui élaborent, justifient et appliquent les politiques sanitaires, ce qui a pour effet que la question de savoir si les politiques de confinement et les campagnes de vaccination voulues par nos gouvernements sont fondées et efficaces n’a que très peu d’importance pour eux, l’obéissance aux règles et aux procédures en perpétuelle transformation étant un moyen beaucoup plus efficace d’améliorer leur position dans la société et dans les institutions médicales, scientifiques et bureaucratiques dont ils font partie.

  • Le grand investissement moral à cause duquel les personnes qui ont obéi et consenti à de nombreux sacrifices depuis le début de l’état d’urgence sanitaire ont de la difficulté à envisager que ce qu’on leur raconte depuis le début soient des mensonges.

  • L’acte de soumission qu’implique le fait d’accepter d’avoir sa respiration entravée par le port d’un masque dans toutes sortes de situations de la vie quotidienne et de se faire administrer une injection expérimentale, surtout les personnes qui sont contraintes de le faire et qui savent qu’elles sont tout sauf sécuritaires.

  • Les conditions auxquelles la lutte organisée peut être efficace et l’importance d’obéir le moins possible à la réglementation sanitaire absurde.

  • L’établissement progressif d’un ordre totalitaire dans les pays Occidentaux qui pourrait durer très longtemps.