Effacer la piste des traitements précoces, coûte que coûte

Les habitués de mon blog savent combien j’apprécie le travail d’Enzo L., qui a la vertu de nous déniaiser quant aux tours de passe de passe de ceux qui prétendent faire de la science et guider les décisions de nos gouvernements, lesquels nous rendent la vie fort pénible et qui abusent de leur pouvoir depuis bientôt deux ans.

Dans un billet publié ce 26 décembre 2021, il nous montre comment un essai contrôlé randomisé en double aveugle (tout ce qu’il y a de plus sérieux en science) a vu son protocole d’étude modifié afin d’interchanger le résultat principal et le résultat secondaire, et ainsi dissimuler le fait que le ciclésonide (un médicament utilisé pour soigner l’asthme) pouvait, quand utilisé comme traitement précoce, réduire de 82 % les hospitalisations des personnes atteintes de COVID léger ou modéré. Il s’avère que le principal chercheur a des liens avec plusieurs grandes sociétés pharmaceutiques, notamment Pfizer dont les ventes de vaccins n’auraient certainement pas été affectées positivement par l’utilisation de ce médicament à grande échelle.

Ces informations sont de la première importance pour nous qui refusons d’être vaccinés. Car cela fait assurément encore moins sens de nous infliger des sanctions et de nous pourrir la vie, dans le but de nous forcer à consentir à la vaccination sous prétexte d’éviter l’engorgement du système de santé (qui n’a d’ailleurs pas lieu), quand on peut nous soigner efficacement avec ce médicament d’usage assez courant, ou un autre comme l’hydroxychloroquine et ou l’ivermectine. Tout comme cela ne fait pas sens de vacciner encore une fois toute la population avec des vaccins autorisés en vitesse dont les effets secondaires ne sont certainement pas négligeables et sont encore mal connus. Non seulement ce sont les fonds publics qu’on dilapide ainsi, non seulement c’est du personnel et des ressources qu’on pourrait utiliser plus utilement dans les hôpitaux en période hivernal, mais c’est notre économie, notre vie et nos institutions démocratiques qu’on détruit en les mettant sur pause, jusqu’à ce que notre gouvernement juge la couverture vaccinale suffisante pour déclarer la fin de l’état d’urgence et la levée des mesures, ce qui est prévu pour la  Saint-Glingin et pourrait être compromis par l’apparition de quelque autre nouveau variant.

Pour lire le billet d’Enzo L. :

Effacer la piste des traitements précoces, coûte que coûte