Dépistage systématique du cancer du sein et diagnostic de cas asymptomatiques

Il est bien connu que le dépistage systématique et préventif des personnes asymptomatiques, et le compte des résultats positifs ainsi obtenus parmi les cas de COVID-19, sont ce qui a parmi de créer l’illusion d’une urgence sanitaire et de faire faire un pactole à l’industrie pharmaceutique grâce à l’administration des injections expérimentales à presque tous les groupes d’âge, y compris ceux pour lesquels une infection n’entraîne que très rarement de graves complications, et pour lesquels le rapport bénéfice-risque des injections est bien entendu négatif.

Même si cette stratégie n’a, à ma connaissance, jamais été appliquée de manière aussi systématique à autant de personnes et avec des moyens aussi contraignants, nous aurions tort de croire qu’elle serait radicalement nouvelle, comme le virus qui serait lui aussi radicalement nouveau. C’est ce que nous constatons en regardant ces trois vidéos de Jérémie Mercier (chaîne CrowdBunker) enregistrées en octobre 2018 et en octobre 2022, à l’occasion du mois de la sensibilisation au cancer du sein.

Comme pour la COVID-19, les campagnes de dépistage de femmes asymptomatiques, surtout à partir de 50 ans, entraîneraient de nombreux faux diagnostics et un surtraitement, avec toutes les conséquences néfastes que cela peut avoir sur la santé et la vie des femmes. Plus on fait des mammographies de routine, plus on trouve des cas de cancer qui n’en sont pas. Et plus on croit trouver de cas de cancer, plus l’industrie du cancer s’en met plein les poches. Ainsi, selon les deux médecins interviewés par Jérémie Mercier en 2018, le mois de la sensibilisation au cancer du sein est une grande opération publicitaire organisée par l’industrie pharmaceutique et les autorités sanitaires, et auquel participe les bonnes âmes qui ne comprennent pas ce qu’il en retourne. Étant donné que cette industrie et ces autorités ont fait peu de cas de la santé de la population depuis l’arrivée du virus et le début de la campagne de vaccination qui ne semble jamais devoir finir, qui a eu pour effet de dérégler le cycle menstruel de nombreuse femmes et qui auraient aussi provoquer un nombre anormalement élevé de fausses couches, on voit mal pourquoi il en irait autrement en ce qui concerne le cancer du sein. Au lieu de porter ostentatoirement leur petit ruban rose et de participer, toutes vêtues de rose, à des activités d’incitation au dépistage préventif dont le bénéfice est plus que douteux, les femmes auraient intérêt à poser des questions et à ne pas croire naïvement et en troupeau tout ce qu’on leur dit. Si elles ne le font pas, leur corps devient la chose de l’industrie de la maladie, malgré toutes leurs belles déclarations féministes.

En regardant ces vidéos, on verra que les ressemblances avec les manœuvres liées à la COVID-19 sont troublantes.

1. Interview avec Cécile Bour (octobre 2018), médecin radiologue et fondatrice de l’organisme d’information sur le cancer du sein Cancer Rose.

2. Interview avec Gérard Delépine (octobre 2018), médecin cancérologue qui s’est depuis montré critique des mesures dites sanitaires et des soi-disant vaccins contre la COVID-19.

3. Une vidéo du 2 octobre 2022, intéressante parce qu’elle vient après l’arnaque de la COVID-19.

Soit dit en passant, il semblerait qu’on fasse le même coup aux hommes avec le dépistage du cancer de la prostate, quoique de manière plus discrète. Il faudra en reparler en novembre, mois consacré à la sensibilisation aux maladies masculines.