Conférence de presse de Réinfo Covid Québec

À l’occasion d’une conférence de presse organisée par Réinfo Covid Québec, quelques professionnels de la santé ont exprimé publiquement des critiques sur la « gestion de la pandémie » que nous connaissons depuis 20 longs et pénibles mois. Dans un contexte où notre gouvernement jouit de pouvoirs arbitraires dont il ne semble pas vouloir se départir, où les partis dits d’opposition se rallient généralement à lui et font même de la surenchère sanitaire, où les journalistes répètent en chœur le nouvel évangile et réclament à grands cris le durcissement des sanctions contre ceux qu’ils qualifient de récalcitrants, d’antivax ou de complotistes, et où les ordres professionnels menacent de mesures disciplinaires ceux de leurs membres qui ne seraient pas d’accord avec le soi-disant consensus médical et scientifique, il faut du courage pour prendre ainsi la parole publiquement. Espérons que d’autres professionnels de la santé en feront autant et, mus par un sentiment d’émulation, se montreront à la hauteur de leur profession et de la confiance des Québécois.

Voici les points abordés dans cette conférence de presse :

  • l’importance d’organiser enfin un véritable débat public et scientifique;

  • l’inefficacité et les dommages collatéraux des mesures sanitaires;

  • la remise en question de l’efficacité de la vaccination de toute la population;

  • la remise en question de l’innocuité des vaccins à ARN messager;

  • les effets secondaires de ces vaccins et la méconnaissance des effets à plus long terme;

  • la fragilisation du système de santé due aux mesures sanitaires;

  • la dégradation de la santé mentale de la population;

  • les bris de services en santé et le report des traitements, des examens médicaux et des interventions chirurgicales;

  • les fortes tensions sociales provoquées par la peur entretenue depuis la déclaration de l’état d’urgence sanitaire;

  • le maintien de l’état d’urgence sanitaire sans urgence sanitaire;

  • le caractère arbitraire et injustifié du passeport vaccinal et la ségrégation d’une partie de la population québécoise;

  • le danger que ce dispositif représente pour la vie privée;

  • l’omission du consentement libre et éclairé quant à la vaccination;

  • la remise en question de l’obligation vaccinale (directe ou indirecte) alors qu’on n’est pas en mesure de garantir l’efficacité et la sécurité des vaccins et l’absence de transmission du virus;

  • le fait que les risques de la vaccination pour les enfants et les adolescents sont bien supérieurs aux bénéfices;

  • la supériorité de l’immunité naturelle à l’immunité acquise grâce à un vaccin.