Ce qui attend les vaccinateurs

Maintenant que l’inefficacité et les effets secondaires des injections expérimentales contre la COVID-19 commencent à être connus du grand public, les personnes qui ont participé à leur administration doivent s’attendre à subir la colère d’une partie importante de la population. C’est ce qui se produit dans cet appel téléphonique d’un père à une pharmacienne qui travaille pour l’établissement où son fils a été vacciné, ce qui a résulté en une myocardite.

Qu’importe à cet homme, à juste titre en colère, que ce ne soit pas cette pharmacienne qui a vacciné son enfant. Elle a participé ou consenti à la grande opération de vaccination, et c’est bien assez pour qu’elle soit coupable à ses yeux. Sans compter qu’elle a aussi reconnu qu’elle approuve la dissimulation d’informations pour obtenir le consentement non éclairé des parents. Que ceux qui ont vacciné, qui continuent de vacciner, qui militent en faveur de la vaccination, qui vantent les bénéfices des merveilleux sérums et qui nient ou atténuent la fréquence et la gravité de leurs effets secondaires, sachent qu’ils auront tôt ou tard un retour de flamme, individuellement et collectivement, comme médecins, comme infirmières et comme pharmaciens, même si beaucoup d’entre eux n’ont pas participé à la campagne de vaccination. Ce ne seront pas seulement les pères et les mères des enfants dont la santé aura été bousillée par les vaccins qui seront en colère, mais ce sera aussi une partie de ceux qui comprennent que cela aurait pu arriver à leurs enfants, ou pourrait leur arriver plus tard (car les effets secondaires à moyen ou à long terme sont moins bien connus). Sans compter tous les adultes qui auront subi des effets secondaires graves, qui connaîtront quelqu’un qui a en subi ou qui craindront d’en subir dans un an, dans deux ans, dans cinq ans ou dans dix ans, et qui voudront en découdre avec les professionnels de la santé qui ont prêté leur concours ou consenti à cette grande fumisterie.

Si les vaccinateurs et les autres professionnels de la santé tiennent à ne pas devenir la cible de la vindicte populaire, ils auraient intérêt à ne plus participer à la campagne de vaccination contre la COVID-19 qu’on s'efforce de relancer alors que l’automne approche, et à exprimer des doutes et même des critiques ouvertement sur les bénéfices et les risques de la vaccination. Cet autre pharmacien pourrait leur servir d’exemple. Ne fait-il pas bien meilleure figure que la première pharmacienne ?