Analyse de la toxicité des injections expérimentales

Pour le vingt-et-unième numéro de Science en Conscience pour RéinfoCovid, le Dr Jérémie Mercier reçoit Joseph Hickey, docteur en physique et directeur exécutif de l’Association des Libertés Civiles de l'Ontario (OCLA) ainsi que Denis Rancourt, ancien professeur de physique à l’université d’Ottawa et chercheur à l’OCLA.

En analysant les données du VAERS (Vaccine Adverse Effect Reporting System) pour les États-Unis en 2021 ainsi que celles concernant le nombre de doses administrées à la population américaine, Joseph Hickey et Denis Rancourt montrent que :

  • les injections sont toxiques (Janssen, Moderna et Pfizer ) ;

  • le fait de viser les personnes âgées au début de la campagne d’injections a occasionné des dommages considérables à cette tranche d’âge (dommages incluant la mort) ;

  • la distribution des décès par rapport à la date d’injection présente un schéma robuste qui pourrait permettre de mieux comprendre la nature de l’effet toxique des injections ;

  • les troisièmes doses sont moins mortelles en général, mais la mort arrive plus tôt quand elle arrive;

  • le nombre de morts par dose augmente exponentiellement avec l’âge ;

  • il n’y a pas de preuve de toxicité différente selon les lots, mais la variabilité des effets indésirables est plus probablement due à la variabilité de la vulnérabilité à la toxicité en fonction de l’âge des injectés.

Les injections expérimentales sont donc plus toxiques pour les personnes plus âgées (surtout quand elles sont en mauvaise santé) qu’elles sont sensées protéger, et elles sont moins toxiques pour les personnes plus jeunes et qui ont peu de chances d’avoir des formes graves de la maladie et d’en mourir. Dans les deux cas, il est douteux que le rapport bénéfice-risque de ces injections soit positif. Alors à quoi bon organiser ces campagnes de vaccination massives et même agressives !

À propos de l’hypothèse des lots plus toxiques que les autres, la concentration des effets indésirables chez les personnes qui ont été inoculées avec certains lots s’explique vraisemblablement par le fait que ces lots ont été utilisés pour inoculer des personnes plus âgées et en mauvaise santé, et non par des différences de composition des différents lots.

Le rapport de recherche de Joseph Hickey et de Denis Rancourt est disponible sur le site de l’OCLA :

Nature of the toxicity of the COVID-19 vaccines in the USA