Analyse de la mortalité associée aux injections contre la COVID-19

Denis Rancourt, Jérémie Mercier, Marine Baudin et Joseph Hickey ont publié le 9 février 2023 un article scientifique intitulé « Age-stratified COVID-19 vaccine-dose fatality rate for Israel and Australia » (traduction française). En voici l’abstract :

« Il est maintenant bien établi à partir des études d’autopsie et de la surveillance des effets indésirables que les vaccins COVID-19 peuvent entraîner la mort. Le taux de létalité par dose de vaccin (vDFR), qui est le rapport entre les décès induits par le vaccin et les doses de vaccin administrées dans une population, a récemment été mesuré par nous comme étant aussi élevé que 1 % en Inde et lorsque des campagnes « d’équité vaccinale » ont été appliquées en États très pauvres des États-Unis et de 0,05 % en Australie, avec des données non discriminantes par tranche d’âge. Ici, nous fournissons les premières évaluations empiriques des vDFR stratifiés selon l’âge, en utilisant des données nationales sur la mortalité toutes causes confondues et le déploiement des vaccins, pour Israël et l’Australie. Nous constatons que le vDFR augmente considérablement avec l’âge pour les adultes plus âgés, étant exponentiel avec un temps de doublement d’environ 5,2 ± 0,4 ans. En conséquence, le vDFR est d’un ordre de grandeur plus élevé dans la population la plus âgée que la valeur de l’ensemble de la population, atteignant 0,6 % pour le groupe d’âge de 80 ans et plus en Israël et 1 % pour le groupe d’âge de 85 ans et plus en Australie, par rapport à < 0,01 % pour les jeunes adultes (< 45 ans). Nos résultats impliquent qu’il était imprudent de donner la priorité à la vaccination des personnes jugées comme ayant le plus besoin de protection. »

Les auteurs de cet article ont utilisé les données sur les décès toutes causes confondues, car il est plus facile de déterminer avec exactitude le nombre de décès que les causes de ces décès. L’augmentation soudaine du nombre de décès qui a suivi la vaccination de masse, dans des pays comme l’Australie où aucune augmentation significative des décès n’avait été remarquée après une année d’horrible pandémie, montre que les vaccins y sont pour quelque chose et qu’ils ne sauvent pas des vies, sauf dans les modélisations fantastiques des biostatisticiens et dans la propagande soi-disant sanitaire.

Si les estimations de ces chercheurs sont exactes, ce sont environ 13 millions de personnes qui, pour l’instant, sont mortes à cause de ces vaccins.

Dans la vidéo ci-dessous, ils présentent les résultats de leurs recherches, expliquent la méthode utilisée, font des remarques intéressantes sur la toxicité des autres vaccins (59:50), et expriment des doutes sur la technologie à ARN messager, sur la production de la protéine de pointe par l’organisme des personnes injectées et sur le rôle qu’elles joueraient dans la toxicité des vaccins (1:04:41).