Les phénomènes d’aggravation dépendante des anticorps (ADE) et la Covid-19

Les scientifiques du collectif Réinfocovid ont publié un article sur le risque des vaccins anti-covid de disposer les personnes vaccinées à développer des formes plus graves de la maladie. Il est vraiment important que nous soyons beaucoup à être informés sur ce risque, que nous soyons vaccinés ou non. Car si jamais il se produisait une vague épidémique où des personnes vaccinées tombent régulièrement malades et meurent parfois de la COVID-19, sans être très âgées et avoir des conditions santé les disposant à avoir des complications, nos autorités politiques et sanitaires et nos journalistes se garderaient bien d’explorer cette possibilité, car cela mettrait beaucoup de Québécois en colère contre eux et leur enlèverait toute crédibilité. C’est pourquoi il faut plutôt s’attendre à ce qu’ils se rabattent automatiquement sur les bons vieux trucs qui ont fait leurs preuves :

  1. expliquer la situation par l’apparition de nouveaux variants supposément plus dangereux et plus contagieux;

  2. tenir les récalcitrants non vaccinés responsables et leur rendre la vie impossible pour qu’ils consentent, sous la contrainte, à se faire vacciner;

  3. organiser une campagne d’injection d’une troisième dose de vaccin qui, dans le meilleur des cas, pourrait s’avérer inutile car les variants mutent rapidement; ou qui, dans le pire des cas, pourrait encore aggraver la situation.

Bref, si vous avez trouvé l’automne et l’hiver derniers pénibles, ça pourrait être bien pire cette année, si les craintes de ces scientifiques venaient à se réaliser. Car beaucoup de nos concitoyens « adéquatement » vaccinés pourraient appuyer le gouvernement dans la prise de mesures fortement discriminatoires à l’encontre des personnes non vaccinées et nuisibles pour la santé et la liberté de tous les Québécois.

Mais ce pourrait aussi être une occasion d’unir un nombre grandissant de Québécois contre leurs véritables ennemis, qui profiteraient de l’occasion pour les asservir encore plus sous prétexte de protéger leur santé et de vouloir leur bien. Pour que ce soit possible, il faut déjà commencer à préparer le terrain. Et la diffusion de cet article serait un bon début.

En voici le résumé :

« Des études suggèrent que les vaccins anti-Covid peuvent déclencher une réaction immunitaire chez certaines personnes, qui pourrait les amener à développer des symptômes plus graves en cas d’exposition au virus sauvage que si elles n’avaient pas été vaccinées.

LES PHÉNOMÈNES D’AGGRAVATION DÉPENDANTES DES ANTICORPS (ADE) ET LA COVID-19

A RETENIR
  • Des études suggèrent que les vaccins anti-Covid peuvent déclencher une réaction immunitaire chez certaines personnes, qui pourrait les amener à développer des symptômes plus graves en cas d’exposition au virus sauvage que si elles n’avaient pas été vaccinées.
  • En effet, les vaccins pourraient déclencher un renforcement de la maladie par les anticorps (ADE). Cela signifie que les personnes vaccinées pourraient, paradoxalement, souffrir d’une maladie plus grave lorsqu’elles sont exposées au virus sauvage que si elles n’avaient pas été vaccinées.
  • L’ADE est bien connue pour être un risque pour les infections à coronavirus, ainsi que pour la dengue. L’ADE est une réponse immunitaire paradoxale qui rend une personne précédemment exposée à la maladie, ou à un vaccin la ciblant, plus – et non moins – vulnérable en cas d’infection ultérieure.
  • Les risques d’ADE peuvent être associés au taux d’anticorps (qui peut diminuer au fil du temps après la vaccination) et également si les anticorps sont dérivés d’expositions antérieures à d’autres coronavirus. »

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Les phénomènes d’aggravation dépendante des anticorps (ADE) et la Covid-19