Absence de preuve de la production de la protéine de pointe par l’organisme à la suite des injections expérimentales

Le Dr Stefano Scoglio, dans une interview avec le journaliste d’investigation allemand Torsten Engelbrecht, remet en question le fait que les injections expérimentales, grâce l’ARN messager, font produire de la protéine de pointe aux cellules humaines. Selon lui, les nanoparticules lipidiques transportant l’ARN messager ne pourraient même pas entrer dans les cellules. Les tests utilisés pour détecter la présence de la protéine de pointe dans l’organisme des personnes qui ont ŗeçu les injections ne seraient pas concluants. S’il a raison, c’est non seulement ce que les laboratoires prétendent à propos du fonctionnement de leurs injections expérimentales qui est remis en question, mais aussi ce que presque tous les scientifiques et les médecins dissidents croient aussi, à la différence que les derniers pensent que c’est mauvais pour la santé, alors que les premiers prétendent que c’est bon pour la santé. Les réactions parfois graves que subissent les personnes qui ont reçu les injections seraient donc plutôt causées par l’ARN messager lui-même et les nanoparticules lipidiques servant à le transporter.

Je suis évidemment dans l’incapacité de déterminer si le Dr Stefano Scoglio a raison. Toutefois, sa position me semble mériter d’être connue, examinée et discutée. S’il s’avérait que les choses sont comme il le dit, ce serait un coup de plus qui serait porté aux injections expérimentales, puisque celles-ci pourraient encore moins être considérées comme des vaccins, à défaut de produire une réponse immunitaire contre une partie du virus qui serait produite par les cellules. Il s’agirait alors plutôt de simples produits toxiques sans la moindre efficacité pour protéger contre le méchant virus, dont on peut même se demander s’il existe ou s’il a vraiment quelque chose à voir avec les symptômes et les complications observés.